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La preuve sociale est un élément crucial en communication et en marketing.

Pour preuve : on choisit toujours le restaurant avec les meilleurs avis et une terrasse bondée.

Depuis près de 10 000 ans, l’être humain déteste le risque et l’incertitude.
Et ça n’a pas changé.

Pourtant, des entreprises qui se tirent une balle dans le pied, on en voit tous les jours.

Stratégies de communication hasardeuses, image dégradée, e-réputation toxique, négligence des supports de communication, manque de temps, de connaissances, flemme…

Il est temps de se ressaisir, avant qu’il ne soit trop tard.
On vous explique tout dans cet article.

La preuve sociale

Une entreprise qui réussit, c’est une entreprise qui envoie des signaux rassurants à ses clients.

Réfléchissez à vos comportements avant de réaliser un acte d’achat : recherche d’informations en ligne, recherche d’avis, recherche de recommandations auprès des proches…

L’entreprise qui soigne ses supports de communication, collecte des avis positifs et diffuse du contenu à infiniment plus de chances de vous convaincre, qu’une entreprise concurrente qui ne fait rien.

Aujourd’hui, toute société qui vise le développement doit créer un climat de confiance.

Plusieurs outils, supports, stratégies permettent cela :

  • Les témoignages clients, les avis, les notes
  • La mise à jour et l’entretien des supports de communication
  • Les collaborations avec des leaders d’opinion
  • La mise en place d’une stratégie de contenu
  • etc…

Mis bout à bout, ces efforts vont générer de la “preuve sociale”, un véritable atout commercial pour une entreprise.

Néanmoins, les bons élèves sont peu nombreux…
On parle alors de doute social, un mal discret qui fait des dégâts.

Le doute social

Très simplement : le doute social représente tout ce qui peut faire douter un acheteur potentiel.

Dans un paysage numérique où chaque entreprise possède une e-réputation (une "image" en ligne), le doute social peut prendre de nombreuses formes :

  • Le manque d'avis ou de commentaires clients
  • Un faible nombre d'abonnés sur les réseaux sociaux
  • Un site web inexistant, dysfonctionnel, pas à jour
  • Des mauvaises critiques et/ou une absence de réponse
  • Peu de publications sur les réseaux sociaux
  • La diffusion de contenus qui dévalorisent l’image de l’entreprise

Comment agir pour son entreprise ?

Pour comprendre les craintes et les doutes de vos acheteurs potentiels, il va falloir se mettre à leur place.

L’idée, c’est d’avoir un regard neuf sur l’image globale de votre entreprise.

Par exemple, si je suis à la recherche d’un bon carrossier, comment se passe ma prise de décision ?

  • Faire une recherche Google pour voir les carrosseries à proximité
  • Etudier les fiches Google des 3 premiers résultats
  • Visiter le site web de la carrosserie avec les meilleures notes
  • Regarder les réalisations clients sur leur page Facebook
  • Faire une demande de devis par e-mail

Avec cette méthode simple, vous listez les différents points de contact qui peuvent convaincre ou rebuter un acheteur potentiel.

Il suffira alors d’optimiser ce qui fonctionne bien et de mettre à niveau les éléments délaissés depuis trop longtemps.

Attention : parfois, trop de preuve sociale peut également semer le doute.
Les avis dithyrambiques ou les notes de 5/5 sur Google peuvent paraître suspects pour certains clients.

Comme on dit : le mieux est l'ennemi du bien.

Vous avez des commentaires négatifs ? Plutôt que de les noyer avec de faux commentaires positifs, répondez en donnant du contexte et des arguments solides.

Toutes ces conversations sociales sont publiques donc à la vue de tous les internautes.
Avoir dans son entreprise un bon community manager vous permettra de répondre aux commentaires, d’assurer une présence positive sur les réseaux sociaux, d’avoir une image cohérente et rassurante sur tous les supports digitaux.

Mais il faut aussi dans la continuité du community manager, qu’il y ait un service client digne de ce nom, qui soit en capacité d’absorber les plaintes et de les traiter !

Pour conclure

En conclusion, la gestion de la preuve sociale et du doute social est cruciale pour les entreprises qui cherchent à améliorer leur réputation, à recruter une nouvelle clientèle et à augmenter leur taux de conversion.

Autrement dit, à l’ère du numérique, le doute social est un poison qui va lentement (mais sûrement) infecter les entreprises qui ne s’en préoccupent pas.

Vous pouvez l’ignorer… Et puis petit à petit, moins de prospects, moins de clients, moins de ventes.

Impossible de rebondir. Impossible d’inverser la courbe.
Le mal était trop profond.